Le mois dernier, la direction a lancé l’opération « journal de demain » par des rencontres entre des salariés et 160 lecteurs et non-lecteurs, au siège et dans quelques villes de l’Ouest. À en croire le directoire qui a présenté la première phase au CSE du 11 juillet, c’est ce « journal de demain » qui va nous sauver. « On refuse le fatalisme qui serait de voir la baisse de la diffusion s’accélérer, a indiqué aux élus François-Xavier Lefranc. On a la chance d’avoir ce projet fabuleux, tout est ouvert. » À condition de réussir sur trois piliers « qui sont notre cœur de métier : les abonnements, les contenus et la pub ». (suite sur le PDF ci-dessous).
Des réflexions seront menées sur la maquette mais pas tout de suite…
Pendant le Covid, certaines adaptations ont été mises en place dans les pages générales, pour gagner du temps à la mise en page. Les brèves sont ainsi devenues des « points forts » dans un ensemble en pied de page, ce qui a permis de donner plus de place à la photo. Suite sur le document ci-dessous.
Quand faire plus ne paye pas !
Alors oui, on l’entend suffisamment dire depuis des années : les temps sont durs. Semaine après semaine, on nous rappelle que les charges augmentent, que Ouest-France doit faire face à des difficultés de portage, que la vente papier continue de baisser, que la pub n’est pas stable, et, (mais ça, on s’en doutait), que si la diffusion numérique peut atténuer, elle ne compense pas.
(Suite sur le document ci-dessous).
La une résiste à la féminisation
La charte pour une « juste place » des femmes dans le journal va fêter, en 2023, son troisième anniversaire et force est de constater que, en dépit des discours et des bonnes intentions, la place des femmes dans Ouest-France est encore un peu juste. Incontestablement, il y a des progrès. (suite sur le document ci-dessous).